Certains créateurs d’entreprise apportent des projets innovants qui nécessitent des sommes importantes afin d’obtenir des résultats trop risqués pour que les circuits normaux tels que les banques acceptent de miser des fonds.
Par conséquent, recourir à un capital à risque s’avère un choix évident. Une société d’investissement en capital à risque présente de nombreux atouts pour le créateur d’entreprise.
La société d’investissement en capital à risque en quelques mots
La SICAR se définit comme une société par actions dont les investisseurs apportent leurs fonds à des projets dans le but de financer leur lancement, leur développement ou leur introduction en bourse. Le capital-risque permet dans ce cas à une jeune entreprise innovante ayant un potentiel de croissance d’accroître ses fonds propres.
Le nouvel entrepreneur reçoit par conséquent des contributions sans recourir à une demande de garantie. Le novice en quête d’une bonne voie pour ses affaires peut faire appel à un accompagnateur expert pour la
création d'entreprise au Luxembourg.
Ce guide le conseille pour toutes les démarches à suivre dans le but de créer sa propre société et obtenir les avis favorables des investisseurs.
Les principales activités d’une société en capital à risque
Les activités d’une société d’investissement en capital à risque consistent en général à entrer au capital de sociétés qui ne sont pas cotées. Le processus se décompose par la définition de la stratégie d’investissement, la levée du fonds qu’elle doit rassembler avant tout placement, l’investissement proprement dit et son suivi, la sortie ou le désinvestissement et la liquidation du fonds.
La durée de ce déroulement peut être de huit à dix ans. L’investisseur peut déclencher la phase de sortie en fonction des occasions favorables qui se présentent durant la vie du fonds.
Comment choisir le bon investisseur ?
Choisir l’investisseur qui tombe au moment opportun dépend de quelques critères. Le porteur de fonds peut être accepté selon le stade de son intervention, c’est-à-dire la période où se situe la société, en création, en amorçage, en reprise ou en plein développement.
Les montants pouvant être accordés déterminent également ce choix. Il est important de savoir qu’une société d’investissement en capital-risque doit avoir un financement au minimum de 125 000 euros et son capital social d’un million d’euros.
Les secteurs d’intervention jouent aussi un grand rôle, car certains fonds se présentent comme des fonds spécialisés. La couverture géographique entre bien dans la décision de recouvrir à des aides, car certaines structures entrent en jeu seulement à une échelle régionale.